Capitale-Nationale

Avec l’arrivée des températures plus fraîches, de nombreux végétaux perdent leur feuillage, se fanent et deviennent hautement inflammables. Quelques heures d’ensoleillement suffisent pour assécher les feuilles mortes et autres petits combustibles qui s’accumulent au sol.

Il faut donc toujours demeurer vigilant lors de l’utilisation du feu et consulter l’indice de danger d’incendie avant d’accéder à la forêt.

À l’automne, le risque d’incendie de forêt demeure bien présent. Les activités récréatives propres à cette période, comme la fermeture des chalets, la chasse ou le brûlage de feuilles mortes et de résidus végétaux, sont chaque année à l’origine d’une quarantaine d’incendies au Québec.

Avec l’arrivée de septembre, l’automne pointe déjà le bout de son nez. La végétation, désormais arrivée à pleine maturité, combinée à l’augmentation de l’humidité relative, contribue à réduire le risque d’incendie. Les journées plus courtes limitent l’assèchement quotidien, tandis que les températures plus fraîches et les rosées matinales humidifient naturellement la végétation.

Malgré cette accalmie, la vigilance reste nécessaire. À l’automne, le risque d’incendie demeure présent, car la végétation commence à flétrir et les feuilles mortes tombées au sol peuvent rapidement s’assécher sous l’effet du vent et du soleil. Ces combustibles secs s’enflamment facilement et peuvent alimenter des feux de surface.

Ce sont des conditions estivales qui prévalent dans la région. Dans ces conditions, les feux de surface (feuilles mortes, broussailles, etc.) y sont moins nombreux puisque la verdure et la feuillaison des arbres et arbustes est complétée. Cependant les feux qui pourraient s’y produire risquent de brûler davantage en profondeur et être plus intenses.

La feuillaison des arbres et l’apparition de la verdure sont maintenant en bonne voie d’être complétées dans la région. Ce sont donc des conditions estivales qui y sont présentes. Dans ces conditions, les feux de surface (feuilles mortes, broussailles, etc.) y sont déjà moins nombreux, cependant les feux qui pourraient s’y produire risquent de brûler davantage en profondeur et être plus intenses.

La feuillaison des arbres et l’apparition de la verdure sont maintenant en bonne voie d’être complétées dans les secteurs situés plus au sud de la région. Ce sont donc des conditions estivales qui y sont présentes. Dans ces secteurs, les feux de surface (feuilles mortes, broussailles, etc.) y sont déjà moins nombreux, cependant les feux qui pourraient s’y produire risquent de brûler davantage en profondeur et être plus intenses.

Les conditions printanières sont cependant encore présentes dans les autres secteurs de la région. En conditions printanières, dès que le beau temps se pointe, il faut être vigilants. Les végétaux morts (broussailles, feuilles mortes, etc.) ont tendance à s’assécher très rapidement avec un peu de soleil et de vent. Ils deviennent alors hautement inflammables.

Les conditions printanières sont maintenant bien installées dans la région. Ainsi, dès que le beau temps se pointe, il faut être vigilants. Les végétaux morts (broussailles, feuilles mortes, etc.) ont tendance à s’assécher très rapidement avec un peu de soleil et de vent. Ils deviennent alors hautement inflammables.

Le couvert de neige étant disparu sur la partie sud du territoire de la Capitale-Nationale, les conditions printanières propices aux feux de végétation sont maintenant présentes. La SOPFEU a donc commencé la diffusion de l’indice du danger d’incendie dans ce secteur.

Au printemps, dès que le beau temps se pointe, il faut être vigilants. Les végétaux morts (broussailles, feuilles mortes, etc.) ont tendance à s’assécher très rapidement avec un peu de soleil et de vent. Ils deviennent alors hautement inflammables.

Le couvert de neige est toujours présent en forêt dans la région de la Capitale-Nationale. Le risque de feux de forêt y est donc inexistant. La diffusion de l’indice du danger d’incendie pour cette région n’est donc pas encore commencée.